Catégorie : lettres de guerre. Etat : personnelle...

Lettre du général Nosaka, gardien de Nar-Rôk à Odin.

Le 30 février de l'année 950

Nous somme assailli par les démons, ils sont trop nombreux la prise de Derris-Karlan est irrémédiable.
Nous suivrons vos directives, seigneur, nous tiendrons la forteresse de Nar-Rôk coûte que coûte. Tous içi nous sommes prét à mourir.

Des tâches de sang parsément cette lettre qui fut la derniere de Nosaka, des tâches de son sang.

lettre de Loki à son amie Mesti

Ce que je vais te dire dosi absolument rester entre nous deux. Voilà deux jour que je suis rentré de Nar-rok, tout le monde me regarde avec pitié, je hais déteste sa. Je me sens lâche d'avoir échoué et surtout d'être rester envie alors que mes amis mourrez. Ce soir je regagnerez ma place et l'estime de tous, je compte déscendre dans les catacombes, des démons s'y combattent et desfois font des sacrifices terribles. Personne n'y va jamais, sois disant occupé par la guerre mais je crois que tout le monde en à peur plus qu'autre chose. Demain je t'enverrais une lettre pour te raconter mes exploit . Plus sérieusement je tient a regagné leur estime, ton estime.

Loki

Lettre de Loki a son amie Mesti

Ce qui s'est passé hier a était terrible. J'était dans les catacombe, sous un long manteau, jouant les bossu pour justifier l'empreinte bombé de mes ailes sous le manteau. Tous allez bien, je me préparé a combattre, lorsque je la vis. Dans une cage de combat, un mage et ELLE, se tenait face à face, je n'ai aucune excuse, je la connaissait, elle, nièçe de notre énnemi. Mais quand mon regard croisa le sien, un sentiment m'embrasa, mais ma haine du mal continué a dicté ma conduite. Bien que je resta à la regarder, oubliant mes crainte, ma colére, ce monde obscure qui m'entourez. Puis je la vis tomber, violament, ensanglantée, le corps fumant. Mais elle vivait encore, elle éssayez de se relever. C'est là que sa tourna mal...
L'homme qu'elle affrontez la propulsa contre la grille, je l'entendis gémir, sans doute à moitié inconsciente elle murmuré son incompréhension et surtout ce qui me fis agir sa peur de mourir, elle dit cela ocmme un pardon pour le mal qu'elle avait causé, je me douté que seul son état était responsable de tant de bonté, mais elle me prouva qu'elle avait du bon en elle, qu'elle n'était pas une démone. Comme une âme à sauvé, une âme voilée. Là je compris ce sentiment.
Je fus sorte de mes réflexions par les cris d'encouragement de démon pour qu'elle sois achevée, je les entend encore...
Je ne savais pas quoi faire, tout mes pouvoirs sont encore pas assez dévelloppé pour que je m'en serve pour un combat où je n'aurais pas l'effet de surprise.Il se passa quelque chose de bizare, la voir en larme, en sang, je ne pouvais que détourné la tête mais lorsque mes larmes touchérent la poussiére du sol, je me rappella mettre juré de ne plus laissé mourir quelq'un cher a mon coeur. Déployant mes ailes je fit voler mon manteau, et tendant les bras sur les coté jenvoya deux boule d'énergie sur des gardes, se sentit des mains me saisir mais mes aile firent voler le propriétaire dans le mur. Alors je détruisit la grille,me plaçant entre elle et le mage. Me servant de mon épée, je repoussé tout les assauts porté a mon égard. A se moment la je sentit la mort, pas la mienne, mais celle de Freya-Line, sidéré je ne para pas le coup du mage, je vola contre la grille, en me relevant . Puis se fut le black out, comme une surchage. Ma vue se brouilla, je me sentit... comme possédé... je senti mon corps s'électrisé, des regard se tourné vers moi, d'abord curieux, puis épouvanté.
Ils sont tous mort. Je ne sais comment jai fait sa mes plus rien ne me bléssé, mes ailes repoussé les assaillant comme un bouclier invisible. Prenant un barreau, étrangement brilant d'un bleu vif a mon, contact, je transperça le mage, celui si hurla, de la lumiére sorté de ses yeux, les plupart des démons éssayer de sortir mais la téléportation ne marche pa dans les lieux souterrain vers l'extérieur.
Maintenant seul, je me tourna vers Freya-Line, je me senté vider de ma force, elle était là inerte, morte. Je savais détenteur du pouvoir de guérison mais la mort n'est pas uen maladie, elle est définitive. Alors les lévres humides de larmes sucrées, je l'embrassa ( EDIT : c'ets pour l'histoire ^^ )
Mon corps se mit alors à briller d'une lumiére verte et le sien en fit autant, se senté qu'elle reprenez connaissance, elle entrouvit les yeux puis les referma, restant comme endormis. Je prit alors la déçision de la conduire à l'hopital.
Je ne pense pas que l'on puisse me reprocher de l'avoir sauvé, c'est notre devoir à nous tous d'aider les être en difficulté. En particulier quand on ressent des sentiment envers cette personne.